Les Archives de LVPJ ...

"Remerciements..."

 

 Je vous remercie d'avoir soutenu notre projet de création de jardins familiaux, projet que nous allons défendre auprès des pouvoirs publics. Nous vous tiendrons bien entendu au courant de l'avancée de notre projet.

Toutes vos idées et suggestions nous seront utiles pour mener à bien cette entreprise. N'hésitez pas à nous écrire ainsi que vos amis à l'adresse suivante : parcsjardinsbussy@free.fr

Yvon Chismant
Le Président de LVPJ


"Film..."

Le temps des grâces

Dominique Marchais
France - 2009 - 2h30

Une enquête documentaire sur le monde agricole français aujourd’hui à travers de nombreux récits : agriculteurs, chercheurs, agronomes, écrivains… 

A ne pas manquer à la Ferme du Buisson du 17 au 30 mars 2010.


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"2010, Année internationale de la biodiversité"


Le 11 janvier s'est ouverte à Berlin l'année internationale de la biodiversité

La Convention sur la diversité biologique, signée en 1992, s’était fixé pour objectif une réduction significative de la perte de la biodiversité en 2010. Cette année, déclarée Année internationale de la biodiversité par l’Assemblée générale des Nations unies (ONU), est l’occasion de faire le point sur l’état de la biodiversité sur la planète.

Une année de célébration de la diversité du vivant
L’année internationale de la biodiversité (AIB) a pour objectif d’éveiller les consciences au rôle essentiel de la biodiversité dans le bien-être de l'homme. Elle sera marquée par des événements internationaux telle la session spéciale relative à la biodiversité de l’Assemblée générale des Nations unies (New York, septembre 2010). À chacune de ces manifestations internationales sera présentée une exposition organisée par l’Unesco (inaugurée les 21-22 janvier à Paris), destinée aux décideurs politiques comme au grand public.
Mais l’AIB sera également mise en valeur aux niveaux national, régional et local, par de nombreuses manifestations (expositions, publications, inventaires d’espèces…) « œuvrant à préserver et célébrer la diversité du vivant. »  La Fête de la nature, du 19 au 23 mai, et la Journée internationale de la biodiversité, qui a lieu chaque année le 22 mai, s’insèrent également tout naturellement dans l’AIB. 

La biodiversité, colonne vertébrale de la vie sur Terre

La notion de biodiversité, ou diversité biologique, recouvre toute la variété des organismes vivants de la planète (celle des espèces, des populations et des gènes), mais aussi la diversité des associations entre organismes, ainsi que celle des processus biologiques auxquels participent les espèces.

Un patrimoine inestimable
Selon l’expression de l’Union mondiale pour la nature (UICN), « la biodiversité est la colonne vertébrale de toute la vie sur terre ». Elle fait partie intégrante de nombreux processus biologiques essentiels (sa bonne santé assure la qualité de l’air, protège les sols de l’érosion, assure la pollinisation des plantes, etc.).
Par ailleurs, pour l’homme, la biodiversité est une ressource inestimable : elle fournit aliments, matières premières, médicaments – l’OMS (Organisation mondiale de la santé) estime que 80 % de la population mondiale dépend de substances médicinales issues d’espèces sauvages.
Enfin, la biodiversité possède vis-à-vis de l’espèce humaine des valeurs esthétiques, culturelles et spirituelles (sociétés animistes, sites naturels sacrés…).

Interdépendances
La biodiversité n’est pas une simple juxtaposition sur la Terre de millions d’espèces vivantes : elle représente un tissu d’écosystèmes liés les uns aux autres, au sein desquels toutes les espèces sont interdépendantes. L'extinction d'une espèce, c'est le déséquilibre de l'écosystème dont elle fait partie.

La biodiversité menacée

Un objectif loin d’être atteint
« Il sera impossible d’enrayer la perte de la biodiversité en 2010 » (Jane Smart, directrice du Groupe pour la conservation de la biodiversité de l’UICN).
D’après l’évaluation des écosystèmes pour le millénaire, projet conduit par l’ONU depuis 2000, le taux global actuel d’extinction des espèces est près de 1 000 fois supérieur au taux naturel, estimé d’après les données fossiles. L’édition 2009 de la Liste rouge des espèces menacées, publiée par l’UICN, montre, entre autres, que 21 % des mammifères, 12 % des oiseaux et près de 30 % des amphibiens sont menacés. C'est le cas, au total, de 36 % de l’ensemble des espèces étudiées par ce projet. Mais, sur plus de 1,7 million d’espèces connues (et 14 millions d'espèces estimées), moins de 50 000 à peine ont pu être évaluées de ce point de vue pour l'instant, et l’on s’accorde sur l’hypothèse que ces chiffres ne sont que le « sommet de l’iceberg », la situation réelle étant probablement encore plus alarmante.

Une catastrophe due à l’homme
L’humanité est ainsi confrontée à une extinction de masse des espèces sauvages, la sixième de l’histoire de la vie sur Terre (la dernière remonte à 65 millions d’années). Mais, fait inédit, ce phénomène est provoqué, de façon directe ou indirecte, par l’action d’une espèce : l’espèce humaine − qui fait pourtant partie intégrante de la biodiversité. Et si l’homme modifie son environnement depuis sa sédentarisation, les atteintes qu'il lui porte sont sans précédent depuis une cinquantaine d’années (ressources utilisées de façon non durable, pollutions, déséquilibres dans les cycles naturels, changement climatique, etc.)

Sauver la nature… pour le bien-être de l’humanité

En-dehors des considérations éthiques et esthétiques, protéger la biodiversité devrait relever du simple instinct de survie. En effet, avec son érosion galopante, c'est l’espèce humaine elle-même qui, à terme, est menacée dans sa survie.
Pour réduire le rythme de perte de la biodiversité et limiter les conséquences néfastes des modifications des écosystèmes, la seule voie est la mise en œuvre, dès à présent, d’une utilisation durable et équitable des ressources naturelles. Ce qui implique des changements considérables − aux échelles internationales comme locale − dans les politiques environnementales, les incitations économiques, les technologies et les comportements...
 « Il est temps de reconnaître que la nature est la plus grande entreprise du monde et qu’elle œuvre – gratuitement – au profit de 100 % de l’humanité. Les gouvernements devraient faire des efforts aussi importants, sinon plus, pour sauver la nature que pour sauver les secteurs économique et financier. » (Jean-Christophe Vié, directeur adjoint du Programme de l’UICN).

"Pour tous ceux qui ont vu "Home" ... et même ceux qui ne l'ont pas vu...

Nous vous relatons cette pétition pour que nos gouvernements s'engagent plus sérieusement sur la question du climat lors du sommet de Copenhague.Découvrez et soutenez l'appel inter-ONG pour Copenhague  et relayez L'ultimatum climatique sur le site www.copenhague-2009.com

 Le Président de L.V.P.J. et son Equipe 

"Malbouffe, OGM, pesticides, dites STOP"

Le 18 juin dites "Oui au bio dans ma cantine!" et rendez vous sur le site Planète attutude pour participer à l'appel du 18 juin. 

"Petites infos pour Grandes Journées"

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Journée mondiale de l’Environnement

Vendredi 5 juin 2009

l'assemblée générale de l'ONU a établi la Journée mondiale de l'environnement en 1972 afin de marquer l'ouverture de la conférence de Stockholm sur l'environnement humain. C’est à cette occasion qu’est créé le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).

Pour cette édition 2009, la journée mondiale de l’environnement se tiendra au Mexique. Selon Achim Steiner, Directeur exécutif du PNUE, le Mexique est «en train d'émerger parmi un groupe de pays en développement qui apportent un leadership crucial pour la création d'un nouveau traité climatique décisif et complet  ».

Le thème de la Journée sera :

« Votre planète a besoin de vous – Unissons-nous contre le changement climatique ».

Les objectifs de cette journée seront de sensibiliser sur la protection de l'environnement, de donner un visage humain aux problèmes environnementaux, de renforcer l'attention et l'action politiques, d’amener les citoyens à devenir les agents actifs du développement durable et équitable, de signer ou ratifier des conventions environnementales internationales.

 

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En France

Dans le cadre de la stratégie nationale du développement durable 2009-2012, le Ministère de l’écologie, de l’énergie, du Développement durable et de l’aménagement du territoire (MEEDAT) en appelle aux Français et dans le prolongement des engagements du Grenelle de l’environnement, lance une consultation sur son site internet : www.developpement-durable.gouv.fr.

L’objectif de cette consultation est de définir un « cadre de référence et d’orientation des acteurs privés et publics, en cohérence avec la stratégie des instances européennes et avec les engagements internationaux de la France ». « Cette consultation engage également les représentants des élus nationaux et locaux, des employeurs, des salariés et des associations. »

Vous pouvez vous aussi répondre au questionnaire en ligne.

LVPJ a participé à la consultation.

A vos agendas et bonnes vertes journées …

L’équipe d’LVPJ    

Journée mondiale pour la Planète

Mercredi 22 avril 2009

Encore une occasion de se mobiliser pour notre Planète.

La Journée de la Terre est une journée consacrée à un enjeu vital : l'avenir de notre Planète.
Pour mémoire, la date du 22 avril commémore le 22 avril 1970 où, aux États-Unis, un sénateur nommé Gaylord Nelson encouragea les étudiants à mener des actions sur le thème environnemental. Ces actions furent couronnées de succès puisqu'elles aboutirent à la création de l'agence de protection de l'environnement des États-Unis.
Malgré des avancées notoires en matière de protection de l’environnement, il reste beaucoup à faire.

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L'objectif de cette journée est de mobiliser les populations afin d'obtenir des mesures en faveur de la protection de la nature. D’ici à 40 ans, l’équilibre de notre éco système sera en danger si nous ne faisons rien. Les spécialistes en la matière nous le martèlent : la Planète est menacée. Déjà des modifications de l’écosystème sont jugées irréversibles et les répercussions seront désastreuses pour les populations.

Nous pouvons d’ores et déjà adopter les bons comportements afin de réduire notre empreinte écologique et communiquer sur ce thème autour de nous. Chaque action est précieuse et s’inscrit dans le futur de nos enfants.

La Journée de la Terre est célébrée partout dans le monde, alors vous aussi célébrez la Terre.

 

"Le nettoyage de printemps"

 

L’arrivée des beaux jours est l’occasion d’aérer la maison et de tout nettoyer chez soi. Pour mener à bien un grand nettoyage de printemps, voici quelques conseils pour bien s’organiser et pour tout faire briller en utilisant des solutions de nettoyage écologiques.

Une tradition printanière

Le nettoyage de printemps est une tradition dans plusieurs cultures et religions où elle revêt une valeur symbolique de purification et de renouveau.
Traditionnellement, ce nettoyage consiste à ouvrir les fenêtres pour laisser sortir les poussières accumulées pendant l’hiver. On trouve ce rituel de nettoyage de la maison dans la Chine ancienne, à l’occasion de la fête du printemps, mais aussi en Russie et en Suède où les habitants décorent les rideaux de leurs maisons de couleurs pastel et de fleurs. Dans la religion juive, on nettoie la maison de fond en comble pour la Pâque, afin d’éliminer toute trace de levain et de miettes de pain.

L’organisation du nettoyage

Pour que cette grande opération soit moins éprouvante, il est recommandé de procéder au nettoyage de printemps sur un week-end. On organisera le nettoyage pièce par pièce, en commençant par la cuisine (dont on nettoiera tous les placards pour éviter que les aliments n’attirent les insectes) et la salle de bains. Ce grand nettoyage est aussi l’occasion de laver les rideaux, les vitres et le dessus des placards, habituellement négligés. On en profitera pour laver les couvertures et autres tissus d’hiver et pour les remiser jusqu’à la saison suivante. Dans les chambres, le nettoyage est l’occasion de faire le tri de ses affaires et de ranger, si ce n’est pas encore fait, les vêtements d’hiver.

Aérer pour dépolluer

Un nettoyage de printemps efficace a aussi pour objectif de dépolluer l’air de la maison. 
En effet, les polluants de l'air intérieur peuvent être 2 à 100 fois plus élevés qu'à l'extérieur, en raison de la présence de composés organiques volatiles (COV). Ces polluants s’évaporent des produits de nettoyage (désodorisants, cires), de la cuisson d’aliments et s’accumulent pendant l’hiver du fait du chauffage et d’une aération insuffisante. Il est donc primordial d’aérer sa maison en ouvrant longuement toutes les fenêtres et en créant des courants d’air. De plus, pour éviter de polluer votre intérieur avec des COV, il est recommandé d’utiliser exclusivement des produits de nettoyage naturels (vinaigre blanc, eau citronnée, bicarbonate de soude, eau chaude savonneuse). 
On évitera d’employer des désodorisants chimiques sous forme de pulvérisateurs et d'aérosols.

Des solutions écologiques

Le vinaigre blanc, qui contribue à éliminer les bactéries, le tartre (à savoir que le vinaigre blanc fixe la couleur sur les habits neufs et peut être utilisé lors du premier lavage), les moisissures et les virus, peut s’employer sur toutes les surfaces, de la cuisine jusqu'au siège des WC. L'eau chaude et savonneuse tue les microbes portés par les aliments tels que des salmonelles sur toutes les surfaces de découpage, les plats, les couteaux… On peut aussi frotter les éviers et les robinets avec une pâte composée de bicarbonate de soude et d'eau pour en supprimer les tâches. Pour nettoyer les fenêtres, remplissez un spray avec de l'eau et un quart de tasse de vinaigre blanc ou une cuillère à soupe de jus de citron. Pour nettoyer les fours, on conseille d’enduire l’intérieur d’une pâte composée d'eau et de soude cristallisée et de laisser agir durant la nuit, avant de frotter. Pour réaliser cette opération, il faut porter des gants. Il est possible de cirer les meubles avec un mélange composé d'une cuillère à café d’huile d'olive et d'une demi-tasse de vinaigre blanc ou avec de la cire d’abeille liquide qui nourrit le bois et le protège contre les tâches d’eau.

Voici venue la période idéale pour entreprendre les travaux d’entretien et de rénovation dont toute maison a besoin. Des façades aux toitures en passant par l’entretien du bois, propriétaire consciencieux et conseils judicieux pour embellir et protéger son bien. Les intempéries de l'hiver ont peut-être causé des dommages à votre maison. Une inspection s'impose. Pour vous aider à ne rien oublier, voici un petit guide des travaux à effectuer au printemps. En les faisant maintenant, vous pourrez profiter de votre été en toute quiétude.

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La maison

Les façades: Peindre sa façade, c’est d’abord la protéger et l’imperméabiliser de façon à ce qu’elle puisse tenir convenablement son rôle de barrière de protection contre les éléments extérieurs comme les intempéries et la pollution. C’est aussi s’offrir une maison dont la couleur est conforme à ses goûts, tout en respectant bien évidemment les règles d’urbanisme.

Le ravalement: au moins tous les dix ans - est obligatoire. Selon la mairie dont vous dépendez, cette obligation peut parfois prendre une forme coercitive (amende dans un premier temps), puis une forme exécutoire (réalisation des travaux au frais du propriétaire). Toutefois, si votre façade est en bon état malgré le délai écoulé, il est possible - sous certaines conditions - d’attendre pour effectuer le ravalement. Si l’on choisit de faire appel à un professionnel, ce dernier commencera par établir un diagnostic qui déterminera l’état de santé du matériau (brique, plâtre, béton, bois, pierre) ainsi que l’ampleur des travaux nécessaires, du simple nettoyage aux éventuelles réparations. On peut choisir de se lancer seul dans ce type de travaux, en prenant certaines précautions. Avant tout, il est nécessaire de s’équiper correctement. Combinaison, gants et lunettes de protection sont des accessoires qu’il est fortement conseillé de porter pour ce type d’opération. Après vient le temps de la préparation de la façade, une étape indispensable consistant à faire place nette en coupant ou en arrachant les branches poussant près du mur et en protégeant à l’aide d’une bâche les plantations disposées aux abords. Il est également nécessaire de protéger les volets, les ferronneries et les encadrements de portes et de fenêtres à l’aide de bandes de masquage. Une échelle ou un échafaudage étant indispensables à la réalisation de tels travaux, vérifiez leur stabilité et leur solidité pour pouvoir travailler en toute sécurité. Parce que toute application de peinture nécessite d’être faite sur une surface parfaitement propre, l’étape suivante consiste à nettoyer votre façade avec un nettoyeur haute pression à froid. Attention cependant à ne pas dépasser 
60 bars car au-delà, vous risqueriez d’abîmer le mur. Lorsque votre façade est bien sèche et saine, commencez par appliquer un anti-mousse (le même que pour les terrasses, clôtures, toitures, etc.). Quel que soit l’état du support, l’application d’une sous-couche est primordiale car elle renforce la qualité de la peinture et sa tenue dans le temps. Enfin, pour bien choisir votre peinture, sachez qu’il en existe deux grands types : les peintures acryliques et les peintures pliolites. Diluées à l’eau, les premières n’ont quasiment pas d’odeur, leur application est facile et elles sèchent très rapidement. En plus, elles sont écologiques car elles s’appliquent sans solvant. Les secondes sont plus résistantes aux intempéries et possèdent un effet fongicide et algicide. Leur fort pouvoir couvrant et autonettoyant est également un atout. Diluées avec un solvant de type white spirit, elles mettent plus de temps à sécher et leur odeur est plus forte. En ce qui concerne le choix des couleurs, il est conseillé de se renseigner auprès de votre mairie afin de vous assurer que votre façade sera conforme aux règles d’urbanisme spécifiques à votre commune.

Pour peindre soi-même sa façade, il faut respecter certaines règles :         

  1. Évitez de peindre en plein soleil ou par une température inférieure à 10°C ;
  2. Préférez une période plutôt sèche (d’avril à octobre) ;
  3. Appliquez la peinture en commençant toujours par le haut du mur ou le pignon de la maison ;
  4. N’arrêtez jamais de peindre avant d’avoir terminé un pan de mur entier pour éviter les traces de reprise ;
  5. La peinture des fenêtres, des portes et des volets se fait lorsque la peinture de la façade est achevée ;
  6. Si l’échelle ou l’échafaudage n’est pas assez haut, utilisez une perche télescopique.
     

L’entretien du bois: Très vulnérable, le bois a besoin d’être entretenu et traité régulièrement et efficacement contre ses multiples ennemis, les insectes, les champignons, les intempéries…

Pour redonner de l’éclat à votre salon de jardin, à un portail ou encore aux caillebotis ou aux treillis du jardin, on peut appliquer une peinture microporeuse. Celle-ci laisse respirer le bois, permet l’évaporation de l’eau et évite le décollement, l’écaillage et le cloquage de la peinture qui sont inévitables sans. Il est conseillé de renouveler l’application tous les 4 à 6 ans, le soleil et la pluie fragilisant le bois. On peut également opter pour un vernis qui formera une couche protectrice. Brillant, satiné ou mat, il offre un fini résistant à l’eau, aux éraflures et àla chaleur. Une opération à renouveler tous les 4 à 5 ans. Autre solution pour entretenir les boiseries, les lasures transparentes ou opaques mettent en valeur les veines du bois tout en le protégeant des intempéries pendant 3 à 5 ans. Sur un bois neuf ou décapé, il est conseillé d’appliquer un produit fongicide et insecticide puis une sous-couche spécial bois en procédant d’abord à un ponçage léger au papier de verre. Les bois déjà peints, lasures ou vernis doivent être bien nettoyés, puis légèrement poncés, avant toute nouvelle application. Attention à certaines peintures bois élaborée à base de glycérophtalique. Elles ne peuvent pas être appliquées sur toutes les essences. Il est donc impératif de se renseigner sur l’origine du bois avant toute application pour s’assurer de la compatibilité.

La toiture: En règle générale, une toiture de moins de vingt ans nécessite une vérification par un professionnel tous les dix ans (si elle est plus vieille, la vérification doit se faire tous les deux ans, voire tous les ans quand elle a plus de quarante ans). Plus fragiles que l’ardoise, les tuiles doivent être systématiquement remplacées quand elles sont cassées afin d’éviter l’infiltration d’eau. Si la végétation envahit votre toiture, pulvérisez un anti-mousse et coupez les plantes grimpantes qui cherchent à s’insérer sous les tuiles. Il peut également s’avérer nécessaire d’appliquer un algicide à base d’acides ou de sels d’étain pour éliminer les algues et les lichens incrustés. Pour conserver une toiture esthétique plus longtemps et pour espacer les opérations d’entretien, il est possible d’appliquer un revêtement hydrofuge. Disponible en plusieurs teintes (du rouge au noir, en fonction de la nature des tuiles), il permet de rajeunir l’aspect du toit tout en réduisant son degré d’absorption de l’eau et les dégâts causés par le gel. Tous ces travaux “de nettoyage” peuvent évidemment être réalisés par un professionnel.Vérifiez la cheminée et les bouches d'aération. Refaites les joints si c'est nécessaire. Si vous remarquez des parties du toit qui s'affaissent ou qui présentent des boursouflures, faites appel à un spécialiste. Nettoyez les grilles de ventilation de l'entre-toit et assurez-vous qu'elles sont étanches Nettoyez les gouttières et les descentes. Enlevez tout ce qui pourrait obstruer l'évacuation de l'eau (poussières, feuilles, etc.). S'il y a lieu, colmatez les fuites ou remplacez les sections qui sont trop endommagées pour être réparées. Assurez-vous que les gouttières sont bien alignées et sont bien fixées à la maison.

Les portes et les fenêtres: Vérifiez l'étanchéité de vos portes et de vos fenêtres. Assurez-vous du bon état des joints d'étanchéité et des coupe-froid. Remplacez-les au besoin. Lubrifiez les charnières, les serrures et les pentures. Enlevez les contre-fenêtres et remplacez-les par des moustiquaires. Restaurez les portes et les fenêtres dont le fini montre des signes d'usure.

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Le jardin

Les travaux de printemps dans le jardin: Le printemps arrive et les travaux de jardinage seront à l’honneur. Petit tour d’horizon des travaux à effectuer. Vaste programme. Alors que vous contemplez aujourd’hui la floraison des fleurs printanières les perce-neige, les tulipes, les jacinthes et les narcisses qui fleurissent déjà, vous devez préparer le jardin pour l’été. Mais attention ! Le jardin n’est pas à l’abri de gelées tardives. Soyez donc attentifs jusqu’au 15 avril et plantez en priorité les bulbes qui résistent le mieux au froid (lys, glaïeuls).  Pensez également de le protéger du mieux possible de tous les insectes qui, eux aussi, sont de retour

Beaucoup d’opérations peuvent être lancées dès maintenant. Nettoyage des plantes après l’hiver, taille de certaines espèces et préparation de la terre. Faites un plan d'agencement avant de semer vos plantes en tenant compte des différences de floraison. Alternez les annuelles (anémones, coquelicots, soucis…) et plantez d’ores et déjà les fleurs 'vivaces' (myosotis, valériane, muguet, iris, pivoine, roses trémières, œillets, bleuets …) pour obtenir une couverture fleurie durable. Espacez vos plantations, c'est la condition de leur épanouissement.

Les rosiers méritent un soin particulier : une bonne taille, un engrais spécifique et un traitement contre les maladies. Mais attention : la taille et le nettoyage ne sont pas d’actualité pour les rosiers grimpants, qui attendront la fin de l’été.

Taillez les herbes vivaces dès l'arrivée des nouvelles pousses

Certains arbustes comme le forsythia ou le groseillier à fleurs achèvent leur floraison, n'oubliez pas de les tailler dès que la floraison est terminée. Vous devrez également tailler les glycines, chèvrefeuilles, camélias, hortensias …

 

   Pensez à affûter vos outils, à commander vos graines et à établir votre plan de jardin.   

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Potager

Quand la température du sol approche les 10°C, il est temps de semer radis, poireaux, choux, oignons, navets, carottes, asperges, laitues, petits pois et artichauts. Pour les pommes de terre, attendre que les dernières gelées soient passées.

Veillez à ce que les légumes reçoivent au moins cinq heures de lumière par jour. On peut commencer à planter les espèces fragiles à l’intérieur, puis attendre les beaux jours pour les sortir.

N’oubliez pas l’estragon, le persil, la ciboulette, l’ail, les échalotes, sauge, romarin, lavande, sarriette … Tout un programme !

Vos arbres fruitiers ont également besoin d’être débarrassés de leurs branches et feuilles mortes : ils pourront alors emmagasiner davantage de soleil jusqu’à l’été. En ce qui concerne les fruits, vous avez également du pain sur la planche. Il est grand temps de planter les arbustes à petits fruits (groseilles, framboises, myrtilles). Pensez à les fixer à un tuteur qui les protégera du vent. Protégez vos arbres fruitiers et vos fraisiers contre les gelées tardives et adoptez un traitement contre les champignons. Pensez aussi à nettoyer le pied de ces arbres, par un binage régulier.

Il est également temps de songer à la pelouse. Le gazon mérite une opération de remise en état : aération, scarification, ornement incontournable du jardin. Il est encore un peu tôt pour semer le gazon, mais il faut déjà préparer le sol : enlever les feuilles, les cailloux, les mauvaises herbes. Nourrissez-le d'un engrais azoté, arrosez le (pour que l’engrais pénètre bien) puis ratissez. Le sol sera ainsi bien préparé à accueillir la nouvelle pelouse, que vous commencerez à semer début avril. Il faut aérer la terre au maximum. Il suffit tout simplement de bêcher ou de procéder à une scarification (en creusant de fins sillons dans les deux sens). Pensez aussi à appliquer un traitement anti-mousse, il est encore temps. Faites également la chasse aux mauvaises herbes.

Astuce: Pour vous débarrasser des pissenlits sans recourir à un herbicide chimique, armez-vous de patience … et d'un couteau ou d'un tournevis à pointe plate : coupez-les un à un en tournant autour et en ôtant la racine en même temps.

Gare aux attaques: Le printemps sonne le retour des insectes et de tous les ennemis de vos plantations. Les limaces et les escargots vont ressurgir et vous devez y être préparés. Vous pouvez opter pour une solution naturelle : asperger vos plantes avec du purin d’orties (1kg pour 10l d’eau). Vous pouvez aussi déposer de la cendre autour des pieds ou de la limaille de lin. Toutes ces solutions sont efficaces et complètement naturelles. Un inconvénient tout de même : vous devrez répéter l’opération fréquemment et surtout après chaque pluie. Plusieurs produits chimiques existent. Ils présentent l’avantage de résister à l’humidité et de tenir ainsi plusieurs semaines. Ce sont des produits sous forme de granulés, que l’on dépose autour des plantes et qui luttent contre les limaces, les loches et les escargots.

N’oubliez pas que vous avez, dans votre jardin, plusieurs alliés de choix ! Les coccinelles, par exemple, vous débarrasseront de centaines de pucerons par jour, tandis que les fougères les éloigneront. Un tas de bois dans un coin du jardin, une haie pour attirer les oiseaux et, idéalement, un couple de hérissons : il n’y a pas de meilleure protection pour les plantes !

Il est impératif de commencer la protection au tout début du printemps pour avoir des pousses saines. Rappelez-vous également de rapprocher certaines plantes qui se protègent mutuellement : la carotte protège l’oignon, le poireau protège la carotte, basilic et persil protègent la tomate, le géranium les rosiers, etc.

Petites astuces écologiques pour éradiquer les fourmis: Afin de vous débarrasser des fourmis proches de vos habitations (portes, encadrement fenêtres…)  frotter avec des feuilles de persil  ou branches de cerfeuil aux endroits ou passent les fourmis. C’est vraiment efficace !

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Quelques Aides pour l’amélioration de l’habitat

Plusieurs dispositifs d’aide ont été mis en place par l’Etat. Ces crédits d’impôts portent sur l’acquisition d’équipements (chauffage ou récupération des eaux pluviales).

Concernant l’équipement en matière de chauffage, le crédit d’impôt porte sur l’acquisition d’équipements de production d’énergie utilisant une source d’énergie renouvelable, de matériaux d’isolation thermique et d’appareils de régulation de chauffage. Un arrêté ministériel dresse la liste des équipements, matériaux et appareils qui ouvrent droit au crédit d’impôt. Ces travaux doivent être réalisés par une entreprise. L’habitat devant se trouver en France, constituer l’habitat principal et être achevé depuis plus de deux ans.

Concernant l’équipement en matière de récupération des eaux pluviales, le crédit d’impôt porte sur l’acquisition du système. Le crédit d’impôt représente 25% du coût dans la limite d’un plafond de 8000 €.

 

   Dernière minute   

Isolez mieux votre maison grâce à l’éco-prêt à taux zéro.

Dès le 1er avril, un nouveau prêt à taux zéro pour isoler votre maison.

Pour en profiter, il faut être propriétaire, occupant ou bailleur.

L’habitation doit être construite avant le 1er janvier 1990 et destinée à un usage de résidence principale.

Ce prêt est destiné à financer des travaux d’isolation afin de réduire la facture d’énergie. Les travaux concerneront les murs extérieurs, les fenêtres, les portes sur l’extérieur, l’isolation de la toiture ainsi que les modes de chauffage (chaudière à condensation, les énergies renouvelables comme le bois, les capteurs solaires).

Le montant du prêt maximum est fixé à 30 000 € pour une durée de remboursement allant jusqu'à 10 ans.

Pour tous renseignement vous pouvez appeler Espaces Info Energie au : 0810 060 050 ou vous adressez à l’agence de l’environnement et de la Maîtrise de l’énergie : www.ademe.fr

Pour plus d’informations, vous pourrez consulter, entre autres, les sites suivants :

Le site de l’agence Nationale pour l’habitat (rubriques « les subventions »)

Le site de la Direction générale de l’énergie et des matières premières (rubrique « le crédit d’impôt dédié au développement durable»)

Le site de l’agence nationale pour l’information sur le logement (rubrique « Fiscalité »)

En cette saison printanière de l'année, quand l'air est doux et plaisant serait une injure à la nature et vraiment dommage de ne pas aller dehors voir sa magnificence et partager sa façon de relier le ciel et la terre

John Milton

Bon courage

IV.YC

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"Les Assises du développement durable de Marne-La-Vallée"
  • A l'Hôtel DREAM CASTLE, à Mangny-le-Hongre, Le Jeudi 5 février 2009 

"Les temps changent"
"Nos Enfants Nous Accuseront"


Film sorti en salle le 05 novembre 2008, Nos enfants nous accuseront, un documentaire de Jean-Paul Jaud sur la pollution industrielle et l'impact des pesticides sur la santé. Il a été projeté au cinéma de Lagny le 09 décembre suivi d’un débat.

C’est la première fois, sans doute depuis Le monde du silence de Jacques Yves Cousteau (palme d’or du festival de cannes 1956) que le cinéma français s’intéresse à un sujet sur l’environnement.

Si la préservation de l’univers marin était déjà une cause précieuse, celle de l’alimentation de nos enfants l’est bien plus encore, pour ne pas dire urgente. Après avoir parcouru les paysages sensoriels français avec sa série des Quatre saisons pour… Jean Paul Jaud fixe l’objectif de sa caméra sur une tragédie environnementale : l’empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole et les dégâts occasionnés sur la santé publique, notamment celle des enfants.

Suite à un cancer du colon et apprenant que la cause en était certainement la présence de pesticides dans l'alimentation, il décide de réaliser ce témoignage en prenant l'exemple de Barjac, commune du Gard, dont la municipalité a décidé de réagir en faisant passer la cantine scolaire au bio en finançant le surcoût.

Nos Enfants Nous Accuseront
Conscient du danger sanitaire qui menace une jeune génération exposée aux 76 000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays, un maire décide de prendre le taureau par les cornes en donnant un exemple d’une portée politique sans précédent : alerter l’opinion et les pouvoirs publics sur les dérives scandaleuses d’un système économique qui fait passer ses profits et ses intérêts avant la santé de la population.

Les différents intervenants du film, enfants, parents, enseignants, soignants, journalistes, agriculteurs, élus, scientifiques, chercheurs, livrent leurs sensations, leurs analyses, leurs angoisses, leur colère ainsi que le fruit de leurs travaux à la caméra. Chacun raconte son expérience, dénonce les abus, pose les problèmes, mais tous proposent des solutions, à conditions que les différents organes de décision prennent leurs responsabilités. Des témoignages édifiants et bouleversants sur une réalité qu’il est urgent de maîtriser.

Un agriculteur dit qu’il ne consomme pas sa production, un autre qu’il saigne du nez pendant les 3 jours qui suivent un traitement et encore un autre dit qu’il ne peut pas uriner pendant une semaine lorsqu‘il effectue également des traitements. Combien de maladies, de tumeurs, d’infirmités, de tragédies humaines sont-elle entrain de proliférer sans que l’on ne fasse rien, ou si peu ? Une maman parle de sa fille, décédée à 10 ans d'un cancer provoqué par un pesticide utilisé dans la maison, un anti-moustique. Il faut savoir qu'un anti-moustique en flacon qui diffuse pendant 20 nuits représente 2.000 fois la dose que vous absorberiez en buvant une eau contaminée. Le film commence à l’Unesco, lors d’un colloque réunissant des sommités mondiales de la médecine, signataires de l’appel de Paris. Un seul mot d’ordre : Ne pas se contenter de constater les ravages, mais trouver tout de suite les moyens d’agir, pour que demain, nos enfants ne nous accusent pas de les avoir abandonnés. Documentaire remarquablement bien construit : tous les aspects du problème sont montrés en toute sincérité (témoignages de scientifiques, d'agriculteurs, de parents, d'enfants, d'élus, de Français, d'étrangers ...). Le temps qui passe est montré par la grossesse d'une jeune maman. 

Un film au service d’une vérité qui blesse 
Quelques chiffres à retenir:
- Chaque année en Europe 100 000 enfants meurent de maladies causées par l'environnement.
- Chaque année en France, on constate une augmentation de 1,1% des cancers chez les enfants.
- C'est la première fois que la jeune génération est en moins bonne santé que leurs parents. 
- Il y a de plus en plus de maladies endocriniennes ; les médecins ont retrouvé plus de 250 produits chimiques dans les cordons ombilicaux des bébés. 
- En France, l'incidence du cancer a augmenté de 93% en 25 ans chez l'homme.
- 70 % des cancers sont liés à l'environnement : 
        - 30 % à la pollution 
        - 40 % à l'alimentation

- En France, 90 % des cultures sont traitées. 
- Une pomme est traitée 24 fois avant de finir dans nos assiettes. 
- Il ne faut pas traiter durant 3 ans pour obtenir la 4e année le label bio.

- En France, il y a des nappes phréatiques contaminées à 90 %.

Attention à bien lire les ingrédients : 
E320. Catégorie des antioxydants. Cancérigène possible, cholestérol, carence en vitamine D, interdit chez les enfants. Utilisé dans les chewing-gums, gâteaux secs, pommes de terre en purée déshydratée, plats préparés. 
E215. Parabènes. Catégorie des conservateurs. Suspecté d'être cancérigène. La polémique vient du fait que, lors d'une étude anglaise du Dr Philippa Darbre faite sur vingt échantillons de tumeurs cancéreuses du sein, il a été trouvé des traces de parabènes dans 18 d'entre eux. Utilisé dans les cosmétiques, parfums, déodorants… . Ainsi que dans des liquides sucrés. Présent dans de nombreux médicaments (sirops).

Débat après la projection : 

Le bio c'est avoir des valeurs, respecter le choix des autres, aller plus vers la sensibilisation et non vers l'attaque.

Le groupement des agriculteurs bio accompagnent les personnes dans leur démarches pour que des cantines scolaires passent au bio : agencebio.org - restauration scolaire.

La responsabilité est individuelle, elle passe par les éco-gestes et par un courage politique.

Une AMAP s’est crée à Rentilly, l'association La clé du solhttp://lacledusol.asso.fr/amap/

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"Un monde sans eau"

Trois exemples emblématiques de la relation qui unit l'homme et l'eau, au Bangladesh, au Kazakhstan et au Kenya.

Le réalisateur autrichien Udo Maurer nous fait prendre conscience, à travers les trois parties qui composent ce film, des divers problèmes liés à l'eau. Des inondations, au problème de l'assèchement de la mer d'Aral ou encore à la bataille journalière pour la recherche d'eau potable, le film montre les problèmes que doit surmonter l'homme pour s'adapter à son environnement

UN MONDE SANS EAU ? Est un projet qui date d'environ 5 ans. Le réalisateur, Udo Maurer, explique comment lui est venue l'idée de réaliser un documentaire pour faire l'état du traitement et de l'utilisation de l'eau sur différents continents : "J'ai réalisé des films pour la télévision pendant des années et j'ai voyagé à cette occasion dans ce que l'on appelle communément le Tiers Monde. Un jour au cours d'un tournage aux Philippines, nous avons eu un problème lié à l'eau.

Affiche du film


Quand on voyage, on a beaucoup de temps pour penser. Et c'est ainsi que j'ai eu l'idée de faire quelque chose de substantiel autour de la thématique de l'eau alors que j'étais à bord d'un bateau. De montrer comment des hommes doivent gérer au quotidien des problèmes auxquels nous ne pensons plus"

Pourtant, Maurer a délibérément choisi de tourner dans des pays qu'il ne connaissait pas, dans un souci d'impartialité. De même, il a choisi de ne pas mettre de voix-off, et très peu de tableaux explicatifs dans son documentaire pour laisser toute la dureté de la vérité éclater aux spectateurs.

Réalisateur :Udo Maurer

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Forum de l'eau

Quoi de plus naturel qu’une cascade bondissant du haut d’une falaise, qu’un lac paisible somnolant au fond d’une dépression, qu’une rivière prisonnière de ses rives glissant le long des pentes ?

Pourtant… notre planète est la seule du système solaire à posséder de l’eau liquide, et notre pays, l’un des plus privilégiés du globe terrestre.

l'eau
Quoi de plus facile aujourd'hui que d'ouvrir un robinet ? Quoi de plus normal que de prélever sans compter à cette manne quotidienne pour la satisfaction de tous nos besoins ?

Pourtant… exploitée sans mesure ni prudence, l'eau est de plus en plus polluée, et la production d’eau potable de plus en plus complexe et coûteuse.

Nantie de propriétés originales, présente sur Terre depuis sa formation, en mouvement permanent entre ses différents réservoirs, indispensable à l’éclosion de la vie et à son maintien au sein des écosystèmes aquatiques et sur les continents, nécessaire à nombre d’activités et de réalisations humaines, l’eau est une substance essentielle à la survie et au développement de l’humanité.
Mais son exploitation intensive, la pollution croissante des réserves, les besoins grandissants d’une population mondiale en plein essor, le manque chronique enduré par certains pays, et la gestion irréfléchie de certains états, soulèvent nombre d’interrogations : que va devenir cette fragile ressource ? Quelles sont les modalités de sa préservation ? Quels sont les risques de pénurie encourus par notre planète ? Le manque d’eau est-il susceptible de générer de nouveaux conflits entre états ?

Voilà, en résumé, les thèmes que nous vous proposons de découvrir dans le cadre de la semaine sur l’eau, Forum organisé par la Mairie de Bussy, du 17 au 23 novembre 2008, ne pas manquer la conférence débat animé par Pierre Ribstein hydrologue ainsi que les différentes visites organisées autour de l’eau.

Nous reviendrons plus en détail sur un dossier plus complet sur l’eau.

LVPJ

L’ETANG DE L’ILE MYSTERIEUSE: UNE VERITABLE RESERVE NATURELLE

Savez-vous que ce bassin de rétention d’un demi-hectare environ, alimenté par les eaux pluviales, abrite une faune et une flore riches et variées ?

Poules d’eau à bec rouge, foulques, grèbes huppées rivalisent d’élégance et d’adresse avec les mouettes, les canards colvert et les cygnes pour préserver leur territoire. Cette faune aquatique trouve par elle-même sa nourriture (algues, larves, coquillages et petits poissons). Il est donc inutile de jeter du pain qui s’accumule au fond du bassin et génère une pollution organique.

Au hasard de votre promenade, vous surprendrez peut-être un héron cendré, grand oiseau échassier très présent dans les milieux humides et peu profonds, littéralement statufié lorsqu’il chasse, des poissons le plus souvent, mais également des batraciens, des petits mammifères et des insectes.

La flore est spécifique à celle des étangs : saules, joncs, roseaux, prèles et porte le nom de roselière. C’est un site important de nidification qui joue également un rôle de dépollution car la roselière épure l’eau et retient les polluants.

Ce plan d’eau est ouvert à la pêche et les amateurs sont invités à taquiner le gardon, la carpe, la brème, la tanche, le carassin et le brochet. Pour tous renseignements, contacter Mme Sabotier à l’association « Le pêcheur de Marne-la-Vallée » Tél. : 06.83.50.84.09.

Les bassins d’eaux pluviales assurent une protection contre les inondations et nécessitent un entretien régulier pour pérenniser les équilibres et permettre une fréquentation sécurisée. Ils présentent un écosystème fragile qui doit être suivi par des diagnostics écologiques réguliers. Soyons respectueux de notre environnement.

F.R.

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